samedi 31 décembre 2011

Compte Rendu Musicale 2011 - L'intro


Il était temps, enfin il restait quelques heures avant d'en terminer avec l'année 2011 et donc de donner "sa" play-list de l'année.
D'abord, on laisse tomber le terme "best-of" pour "compte-rendu" parce que cette liste est bien l'image de ce que j'ai écouté et aimé mais forcément pas le meilleur pour la terre entière.

Dites "33"

Et puis, je vais me contenter de balancer les 33 premiers albums dans l'ordre de préférences, après on aura donc pléthore d’ex-æquo.

Une année assez chargée, car je n'ai pas encore fini de dépouiller décembre 2011

1-Destroyer Kaputt



2-Steffi Yours and Mine



3-The Boxer Rebellion The Cold Style



4-Maritime Human Hearts



5-Washed Out Within and Without



6-Metronomy English Riviera
7-The Horrors Skying
8-Gui Boratto III



9-Miles Kane Colour Of The Trap
10-Maserati Pyramid of the Sun



11-Toro Y Moi Underneath the Pine
12-M83 Hurry Up We're Dreaming
13-The Rapture In The Grace Of Your Love
14-Real Estate Days



15-The Oscillation Veils
16-The New Division Shadows
17-Mr President Number one
18-MEN Talk about Body
19-The Living Kills Faceless Angels



20-Mustang Taboo
21-Danger Mouse & Daniele Luppi Rome
22-The Vaccines What Did You Expect From the Vaccines
23-Alex Beaupain Pourquoi Battait Mon Cœur
24-The Bell Beat Our Manderley
25-Discodeine Discodeine
26-Raphael Saadiq Stone Rollin'
27-Howling Bells The Loudest Engine



28-Keren Ann 101
29-Little Barrie King Of The Waves
30-Noel Gallagher's High Flying Birds
31-Oldelaf Le Monde est Beau
32-The Horror The Horror Wilderness
33-Munk the birds and the Beat

Compte Rendu Musique 2011 - L'outro

Le reste arrive avec dans l'ordre ou dans le désordre:

Cage The Elephant Thank You, Happy Birthday
VHS or Beta Diamonds and Death



Grooms Prom
Work Drugs Tropic of Capricorn
Austra Feel It Break
Donora Boyfriends, Girlfriends
Yelle Safari Disco
Yuck Yuck
Thee Oh Sees Carrion Crawler/The Dream
Blood Orange Coastal Grooves
Violens Nine Songs
Mirrors Light and Offerings
Yuksek Living On The Edge Of Time
Should Like a Fire Without Sound
Taken By Cars Dualist
Love Motel We Are You
Stephen Malkmus & The Jicks Mirror Traffic
The Loose Salute Getting Over Being Under
The Envy Corps It Culls You
BNJMN Black Square
The Juan Maclean Everybody Get Close
Tycho Dive
Justice Audio Video Disco
Dropkick Murphys Going Out in Style
HardFi Killer Sounds
Hotel Mexico His Jewelled Letter Box
Sharon Jones & The Dap-Kings Soul Time!
mathemagic II
The Minutes Marcata



Lily Of The Valley Aquatree
Apache Radical Sabbatical
Cat's Eye Cat's Eyes
Digitalism I Love You Dude
Cut Copy Zonoscope
Foo Fighters Wasting Lights
nanosaur Imagination projects
seabright Dark city
The Whip Wired Together
Future Islands On The Water
We Are Enfant Terrible Explicit Pictures
Black Devil Disco Club Circus
Funeral Party Funeral Party
Secret Shines Beginners
Chapel Club Palace



La Resistance Philosophy
Lower Heaven Today Is All We Have
Acid House Kings Music Sounds Better With You
Young Galaxy Shapeshifting
Art Department The Drawing Board
Cold Cave Cherish the light Years



The Joy Formidable The big roar
The Pains Of Being Pure At Heart Belong
Craft Spells Idle Labor
Les Jupes Modern Myth



the Dirtbombs Party Shore
Dirty Vegas Eletronic Love
The Expanders The Expanders
The James Taylor Quartet The Last Template
Title Tracks In Blank
Wolfram Wolfram
Pompeya Tropical
Yacht Shangri-La
The War on Drugs Slave Ambient
WU LYF Go Tell Fire To The Mountain
Georgio Tuma In the Morning We'll Meet



Et oublié Tahiti 80 The Past, The Present & The Possible pourtant pas mal du tout ;(

mardi 20 septembre 2011

Un petit programme

Specials @ Olympia le 27/09 (complet)
Vaccines @ La Fleche d'Or le 26/10
Miles Kane, Foster the People, Friendly Fires @ La Cigale le 05/11 (Festival Inrocks et complet)
Hard Fi @ La Fleche d'Or
Kasabian @ Zenith le 22/11
M83 @ La Gaité Lyrique le 30/11 (complet)
The Horrors @ Bataclan le 7/12

Dans la série les vieux clous sont de retour:
Echo and the Bunnymen qui promettent de jouer les 2 premiers albums en janvier au Bataclan.

Et puis dans la série, il y a des limites à la décence:
New Order dont il manque actuellement la figure de proue, Hooky le magnifique.

Reprise mi-saison 2011

Après une période de festival en 2011, la reprise s'est faite pas vraiment en douceur.

La Maroquinerie, le 5 Septembre 2011

Avec un très chaud concert des Rapture à la Maroquinerie portés par un répertoire déjà bien achalandé et un nouvel album plutôt bon, ce fut de très hautes volées avec un public pour une fois à la hauteur, dansant, applaudissant et écoutant religieusement.

Pas de basse synthétique contrairement à ce qu'ils avaient présenté à la Route du Rock.
Une vraie basse proéminente qui a fait trembler pendant un peu plus d'une heure la salle.

La Cigale, le 6 Septembre 2011

Le lendemain, Primal Scream au rendez-vous de la Cigale, pleine, Screamadelica comme sujet.


D'abord une première partie pied au plancher avec la Little Barrie, emmené par le Guitariste Rhythmique de Primal Scream, Barrie Cadogan.


3 albums au compteur et le dernier en date produit par Edwyn Collins.
Sur scène le son parait moins violent qu'en studio, moins rapeux, plus sirupant avec des solos de guitare rapidement exécutés.
De la belle ouvrage quoiqu'il arrive.

Et Primal Scream arrive, avec le visuel de la pochette en fond d'écran.

Avec Mani, l'ancien bassiste de Stone Roses, placé un peu en retrait devant un mur d'ampli, comme s'il ne faisait pas vraiment parti du groupe.

Écouter aussi la voix magistrale qui habite cet album avec la présence de Denise Johnson qu'on entend aussi sur l'album suivant.



Un show à la hauteur de cet album, très grande maitrise avec un pique sur le meilleur titre "Higher than the Sun".



Après avoir exécuté le dernier titre du set Screamadelica dans l'ordre, un rappel avec 3 morceaux toutes guitares dehors dont Rocks et Jailbird.


La Flèche d'Or, le 16 Septembre 2011

Puis quelques jours plus tard, vint le "Tour" de la maison Fatcat Records, d'animer la Flèche d'Or avec au programme dans l'ordre

Mazes, anglais noisy pop à l'américaine, avec une voix nasillarde à la buzzcocks.



Twilight Sad, shoegazing, guitare saturée, volume à 11, chanteur Tobey McGuiresque en beaucoup plus grand et sans doute meilleur chanteur.

Un accent écossais à couper au couteau.
Et une ambiance très sombre bien éloignée de ce qu'il présente en studio.


We Promised Jetpack que beaucoup attendaient, jeunots de part et d'autre, musique stylée et volontaire.


Cela monte en intensité au fur et à mesure que le concert avance.
Ils promettent un futur nouvel album.



Une bonne soirée même pour les oreilles (merci l'ingé)

La suite au prochain numéro (à l'Olympia)...

mardi 30 août 2011

Rock en Seine

Vendredi

Rock en Seine commence par une visite à la nouvelle scène avec les mélodies pop de Wolf Gang.



Cela manque un peu de punch et conviction.

Rapidement, il faut filer sur la scène de la Cascade, la 2e par importance, Herman Düne distille son folk rock à la sauce américaine.
Parfait pour entamer a la journée, une belle maitrise qui n'enflamme pas pourtant le public déjà nombreux.


Les promesses d'un album arrivé pour Funeral Party cet hiver ne sont plus au rendez vous sur la scène de l'Industrie, la fête sera bien funeste, pas grande chose à retenir de leur set insipide.

A la grande scène, une toute autre affaire, les brésiliens de C.S.S. sont à la hauteur de leur "premier" album.
Ce n'est pas forcément des foudres de guerre mais après le concert de l'Industrie, ça va mieux.

Un petit break et the Kills arrivent sur la même aire de jeux.
Leur son "live" déjà entendu à la Route du Rock en 2009 est monolithique sans une once d'émotion.

Retour à la cascade avec les General Elektriks, français qui chantent en anglais, véritable showman, son leader se déhanche et surfe sur les titres de l'album qui l'a fait découvrir au grand public.


Avec ceux du prochain c'est tout autre, le platre n'est pas encore sec et l'interprétation hésitante fait baisser la température rapidement.

Un saut rapide vers les Foo Fighters s'impose.


Ceux-ci emmenés par un Dave Grohl toujours à fond, commencent avec 10 minutes d'avance.
Un mur de guitares power pop bien drivé par une rythmique au diapason fait passer un bon moment.
Le show s'éternise un peu et finit avec 20 minutes de retard.

Filage à l'anglaise et détour vers la Pression Live avec Death in Vegas qui produise un son très éloigné de leur electro pop du début.


Le son est à l'image des lumières pauvres et on entrevoit des ombres et des lambeaux musicaux.
Un virage audacieux.

Le bon point "pratique" c'est la multiplication des "WC" sur le site.


Le changement de sponsor boisson y est pour beaucoup, la pinte ayant baissé d'1,5 euros et avec l'aménagement d'une nouvelle scène, la consommation a du exploser.

Samedi

Après Grohl et Funeral Party, hier, arrivée en grandes pompes, des américains ébouriffant de "Cage the Elephant".
Un 2e album avec beaucoup de commentaires dithyrambiques et donc parvenus aux oreilles des festivaliers fort nombreux.

Des termes comme "Grunge" accolés derechef à cause de leur chemise et leur look ?

A première vue, ils ressemblent aux Teenage Fanclub du début et mais musicalement c'est tout autre, par moment ça vient jardiner du coté des Pixies qui auraient piquer des intros à Pavement.


Un peu plus remuant que les deux cités, rien entendu qui puissent faire penser au regretté groupe de Seattle dont il ne faut pas écrire le nom.

En tout cas, sur scène, Matt Shultz remue dans tous les sens et donne du fil à retordre au techos qui le suit.
Deux bains de foules dont un avec micro, sa voix malgré les efforts ne faiblit pas et la rhythmique suit bien derrière.

Les petits gars du Kentucky sont à la hauteur du foin qu'ils ont généré.
Un bien beau concert sur la rive gauche de la seine.

Après un petit passage au Bar Metal servant enfin une bière d'exception, le temps passant et le concert de la Cascade arrivant, un repli stratégique est envisagé.

Le ciel se faisant aussi menaçant que la musique de ce groupe aux 3 initiales répétées, la Guinguette, ce nouveau bar à vin, est choisie de par sa non proximité avec le site de la Cascade.

Austra à petit pas.
Intro au piano en solo, puis arrivée progressives du reste du groupe, tel un grande classique de l'ouverture.
Les titres s'enchainent et l'atmosphère se détend tout doucement
La voix est une presque copie conforme de celle de Siouxsie mais la musique est plus suave.

Delorean et back in 50S vers le Concert de The Jim Jones Revue.
Et il ne fallait pas s'appeler "Titi" pour se faire alpaguer par ces gominés.


Ca envoie d'entrée avec un classique du rock joué à la façon Little Richard mais avec des guitares plus abrasives.
Ensuite ça déroule et petit à petit le public commence à se déhancher.
Des musiciens qui se privent pas d'en rajouter quelques caisses emmenés par la voix erraillée de Jim Jones.

Une parenthèse, pour Interpol et Blonde Redhead ?
Pas convaincu que cela puisse donner quelque chose sur une Grande Scène, le zapping était prévu.

Déstructuration du son par Death From Above (1979), assez particulier ce couple batterie, Guitare, pas de mélodie, juste de l'énergie, abrutissant au final et zapping aussi en cours au bout de 10 minutes.

Retour à case "Pression Live" pour le show maitrisé de Wu Lyf mais pas d'atome crochu...donc zapping (again)

Grande Scène en vue et mobilisation de 90% des festivaliers, archi-bondée, la "plaine" de Saint Cloud pour le clou du spectacle:
Au bout de 15 minutes de Arctic Monkeys qui refont le coup de la Cigale et re-sortie prématurée.

Artiste attendue pour son spectacle déluré devant les 10% des festivaliers qui restent moins ceux qui attendent au chiotte et/ou la buvette, Sexy Sushi les comblent avec du grand n'importe quoi au niveau de la mise en scène.


Un catcheur masqué qui s'effeuillera petit à petit et qui effeuillera aussi deux pauvres tuyas dans des actes que n'auraient pas renié Pete Townsend avec ses guitares.

Un bourreau avec son chapeau pointu qui restera les bras croisés la majeure partie du temps
Et des guest stars spectateurs invités plusieurs fois à les rejoindre dans leurs délires.

Musicalement c'est binaire, de la techno et une chanteuse qui braille à fond des textes assez crus.
D'ailleurs elle invectivera la Grande Scène de façon véhémente, la trouvant à son gout trop bruyante (Arctic Monkeys enc...).

Et enfin la techno carrée euh cubique même, d'Etienne De Crecy, bien foutue visuellement, musicalement légèrement bourrin.



Dimanche

10 minutes pour se rendre compte que The Naked and Famous est un peu léger et mal réglé au niveau du son.

Une programmation limite qui juxtapose Crocodiles et Vaccines.
Une riche idée, bien dommage quand on a couru voir les seconds nommés qui présentent un show aseptisé, le minimum syndicale, peut être du au format de leurs chansons ou leur méforme vocale.


Alors que Crocodiles ne semblaient pas poussifs eux, bien à leur avantage même si leur musique n'était pas forcément révolutionnaire.

Lilly Wood and the Prick fut écouté avachi sur l'herbe...

Concrete Knives, des normands, programmé un peu partout en Europe cet été.
Ils jouent bien, avec une chanteuse qui essaie de réveiller l'assistance, mais ça manque d'originalité.

Et LA's, trois fois hélas, sera un naufrage, 5 minutes suffisent pour se rendre compte du niveau pathétique de l'ensemble.


ça ressemble à un concert de fin de soirée dans un pub mal famé.

Changement d'idée avec les Cherri Bomb, un groupe sorti de nulle part, un glee club féminin glam metal qui eut l'idée de reprendre les artistes présents à Rock En Seine...

Re-fuite donc pour squatter la trop petite scène de l'Industrie qui accueille Miles Kane.


Triste idée de lieu de programmation, tant c'est blindé pour assurément le meilleur concert de la journée (jusqu'à là).

Commencé sous les auspices de Jacques Dutronc (le responsable), Miles Kane fait parler la poudre et exécute avec dextérité son magnifique album, trop peu d'inédits (un titre en fait) cela dit.

Une journée accompagnée de pas mal d'aller retour avec le bar métal, il faut dire fort bien programmé cette année.

Une demi oreille sur Anna Calvi et deux jambes pour retourner une fois de plus vers la lointaine Pression Live.

Un fort bon choix, puisque the Horrors detrône Miles Kane pour le concert du jour (des 3 jours), avec un son vénéneux, des morceaux étirés non joués dans leur format d'origine avec un chanteur charismatique.


Un peu court, on coche la cache à revoir-rapidement-sur-une-vraie-scène.

On passe très rapidement sur l'épisode Deftones qui ferait presque regretter la prestation des LA's.

Sortie de piste programmé avec les Trentemollers puisque c'est sur le chemin.
Manque d'adhérence et pas d'Archives non plus, à cause d'un manque d'espace disque entre les deux oreilles.

Bye sur cette édition limitée.
Avec l'espoir d'une programmation mieux foutue et mieux organisée niveau planning pour l'année suivante.

samedi 25 juin 2011

Solidays 2011 - Vendredi

Balkan Beat Box

Klaxons


Katerine

Cascadeur


Aaron

Skip the Use

The Go!Team

The Joy Formidable

Vitalic

Mark Ronson

Hercules & Love Affair


mercredi 15 juin 2011

Il ne faut pas maux lire

Une grande fatigue m'envahit à 10 jours du premier festival estival, sans doute le rythme effréné des concerts qui s'enchainent (enfin tout est relatif) du mois de Mai à Juin.

Fitz and the Tantrums (Nouveau Casino)
Du rythm and blues old school comme on dirait de nos jours.
Pas de guitare, mais un saxo, une basse proéminente et un clavier omniprésent, deux voix de très bonne facture, un très bon moment.

WhoMadeWho (La Machine)
WhoMadeWho, même contraint par des problèmes techniques ont été parfaits, à l'aise dans leur répertoire comme dans celui des autres, notamment la chanson dont ils portent le nom.

M.Ward (La Gaité Lyrique)
Il a largement occupé l'espace qui lui était réservé, seul, jouant de la guitare, harmonica et piano.
Il a terminé son concert sur sa reprise envoutante de Let's Dance.
Enfin pas tout à faire, lors de son ultime rappel, il a demandé au public si quelqu'un pouvait l'accompagner au piano.

Toro Y Moi (Point FMR)
Il, oui parce qu'à la base, c'est un gars qui fait tout chez lui, a semblé ne pas maitrisé totalement ses morceaux, avec une voix perdue dans l'espace.

The Sonics
(La Cigale & le 106)
Les vieux ont assuré contrairement à la leur première partie rouennaise 5,6,7 & 8s qui ont balancé par la fenêtre leur prestation scénique.
On pouvait attendre mieux d'un groupe vétéran du garage japonais célèbre pour son apparition dans Kill Bill.




Aladdin + MEN + FM Belfast
(La Gaité Lyrique)
Aladdin faisait son premier concert mais on sentait bien que les membres et notamment son chanteur avait un sacré background, ça reste à peaufiner mais c'était plutôt bien foutu.

M.E.N. son/sa leader charismatique, un son electro mais dont la basse et la guitare donnent une ampleur, en tout cas une machine a danser.

Tout comme FM Belfast, islandais déjantés qui ont fini "Underwear" dans tous les sens du terme.



Digitalism (Le Nouveau Casino)
Au top avec leur premier album, moins à l'aise avec les nouveaux titres, le chanteur a souvent déraillé sur ceux-ci.
Une très bonne impression toutefois surtout avec la présence d'un nouveau membre, un batteur qui donne beaucoup plus d'épaisseur à certains titres.
Le regret, c'est qu'ils n'ont pas "joué" Digitalism in Cairo.



De l'éclectisme, une certaine diversité musicale dont le web est un vecteur important.

La suite arrive et même si les jambes se font lourdes, il faudra suivre la cadence avec:

Arctic Monkeys (La Cigale),
Destroyer (Point FMR),
Metronomy + Tame Impala (La Villette),
Velvet Underground Revisited (La Cité de la Musique).

Et au milieu de tout ça les Solidays, en enchainant le mois suivant avec le Paleo Festival puis finir la saison estivale avec Rock En Seine.

Ensuite reprendre le rythme des concerts avec The Rapture et The Specials...

dimanche 27 mars 2011

The Boxer Rebellion - Nouveau Casino

Vu que 20 minutes de la première partie (Spokes), ce fut assez décevant et beaucoup moins bien que leur album.



Pour The Boxer Rebellion, ce fut la confirmation que ce sont d'excellents musiciens et notamment le chanteur Nathan Nicholson capable de reproduire au mieux ce qu'il fait en studio.



Ils ont joué surtout leur second album (qui est fabuleux), l'auditoire a paru connaitre surtout celui là, une partie (très jeune) attendait visiblement la chanson du film "Going Distance" où ils jouent leur propre rôle.



Cela a été aussi un plaisir d'entendre deux titres de "Exit" qui date de 2005, "Watermelon" en rappel et "Cowboys And Engines" en 3e.

jeudi 17 mars 2011

(F)Estivals Parisiens

Days Off
Quelques jours avant l'été, le Days Off qui se déroule en plusieurs jours et plusieurs salles.

Des concepts concerts notamment, avec des "super groupes" qui reprennent un artiste en particulier avec:
Hot Rats (une moitié de feu Supergrass), Colin Greenwood (échappé de Radiohead), Nigel Godrich (producteur), Nicolas Godin (Air) qui vont s'essayer sur le répertoire du Velvet Underground.

Et le jeu de mot de l'année, "Jacno Future" avec la "crème" de la pop à la Française.

Le reste de l'affiche.

Villette Sonique
Quelques semaines avant fin Mai, Villette Sonique.

Le premier jour (27 Mai) attaque en fanfare avec Animal Collective, Discodeine et Salem.
Mais depuis Salem a annulé et a été remplacé par Emeralds.

Caribou, The Fall et Cheveu arrivent plus tard dans le festival.

Rock en Seine
Quelques semaines bien après, Rock en Seine qui a révélé une partie de son programme:

Foo Fighters, Arctic Monkeys, Deftones pour le meilleur.
Mais pour l'instant moins bon que toutes les années précédentes à la même époque.

Et sinon Robert Plant est annoncé au Paléo !

samedi 8 janvier 2011

Top Images de 2010 - Partie 1



Une bien bonne idée de vouloir se mettre dans les premiers rangs du concert de Kasabian aux Solidays 2010.
D'abord pour tester avec le nouvel APN, son rendu des photos de nuit et surtout son zoom x10.
10 fois plus de coup de pieds dans la tronche, de bousculade, de gens qui vous vomissent dessus et surtout 10 fois plus de mauvaise humeur (ne l'oublions pas).



Supergrass, une longue carrière, suivie dès leur début et jusqu'à la fin et qui ont eu le bon goût de ne pas faire l'année de trop, ils ont terminé ce soir de juin...



Il ne tient pas en place, alors quand il s'arrête deux secondes pour regarder le public, il ne faut pas le rater.



Attendus de pied ferme au Bataclan, avec des bouts de leurs derniers titres dans les oreilles, personne ne fut déçu de leur prestation.



Le clin d'oeil des 2Many DJs pendant leur show, alors qu'ils leur succédaient à la scène de la cascade à Rock en Seine.



Après les trombes d'eau de la journée, l'éclaircie viendra des Flaming Lips à la Route du Rock et leur concert très animé.



Grand concert des Dropkick Murphys à l'Olympia au début de l'année 2010 qui se termine en invitant tous les mecs sur scènes (quelques minutes après leurs femmes)