dimanche 16 décembre 2007

Rétro Musicale 2007

C'est bon, c'est bon on est le 16 décembre, dans 15 jours la fin de l'année et le moment de faire la rétrospective habituelle.

Pour commencer, donc celui des albums en attendant, un peu plus tard celle des chansons ce qui me permettra de mettre à jour la radio.

2007 aura permis de démontrer tant il est difficile pour un jeune groupe de confirmer lors du second album.
Là où les Stones Roses connaissant l'écueil qui les attendait, repoussérent l'échéance si longtemps et pour finalement livrer une merde sans nom avec "Second Coming", d'autres surfant sur leurs propres succès, se mirent à l'ouvrage derechef pour donner un petit frère à leur premier rejeton.

Donc attendu au tournant cette année, Bloc Party, The Rakes, Hard-Fi, Editors et Dead 60s.
Parmi ce club des 5, un seul s'en tire à bon compte, c'est The Rakes, avec un album, "10 New Messages", peut être déroutant de prime abord, mais qui fonctionne plutôt bien.


The Rakes - The World Was a Mess But His Hair Was Perfect


La plus grosse déception du quatuor, restera Bloc Party, qui rendent un travail brouillon voire informe avec "A Week-End in a City", sans rythme, sans énergie.
Hard-Fi et Dead 60s qui jouaient un peu dans la même cours font du surplace, le premier nous sort une musique aseptisée sans relief et le second perd l'essence même de son premier album.
"Stand Up" que l'on avait pu entendre en concert en 2006, à l'inspiration "Clashienne" donnait le ton de "Time to take Sides", mais le reste se situe bien plus bas et de moins bonne consistance.

Dead 60s - Stand Up


Dernier de cordés, The Editors se contentent du minimum syndicale mais néanmoins arrivent encore à nous surprendre dans "An End has a start" avec "Bones" ou "Spider".

Editors - Bones (Live BBC)


Pour trouver, le meilleur de 2007 qui reste peut être une vérité à l'instant où je rédige ce message mais qui dans quelques années sera tout autre, il m'aura fallu beaucoup de temps et de recherche.
2007 ne restera pas une année mémorable et j'en veux pour preuve la médiocrité des affiches présentées durant tous les festivals estivaux, une certaine froideur s'installant, peu d'albums de qualités sortis, peu de bons artistes sur les routes.
A certains moment, pour construire une play-liste interessante sur mon lecteur mp3, il a fallu que j'aille chercher les vieilles breloques au fin fond du disque dur, voire au fin fond de ma cave.

En attendant, j'ai réussi à débusquer quelques pépites comme Officer Kick, The Photo Atlas ou Harrisons.

Harrisons - Monday's arms


Je reviendrais peut être en détail sur certains albums mais pour l'instant, le classement des 25 albums de l'année 2007 est le suivant:

1-LCD Soundsystem "Sounds of silver"
2-The Officer Kicks "The Six grand plot"
3-Numero# "L'idéologie des Stars"
4-The Enemy "We'll Live & Die in These Towns"
5-Faithless "To All New Arrivals"
6-Shit Disco "Kingdom of fear"
7-Groove Armada "Soundboy Rock"
8-Harrison "No fighting in the war room"
9-Thirsty Merc "Slideshow"
10-The Apple in Stereo "New Magnetic Wonder"
11-The Rakes "Ten New Messagesé
12-Valérie Leulliot "Caldeira"
13-The Horrors "Strange House"
14-Of Montreal "Hssing Fauna..."
15-Blonde Redhead "23"
16-The Cinematics "A strange eduction"
17-The KBC "On the beat"
18-Cut City "Exit Decades"
19-Dogs "Tall stories from under the table"
20-Calvin Harris "I created disco"
21-The Cult "Born into this"
22-Photo Atlas "No, Not Me, Never"
23-Jens Lekman "Night Falls over Kortedala"
24-Bella "No One Will Know"
25-The Bravery "The Sun and The Moon"

Pas de place pour Interpol "Our Love to Admire", Radiohead "In Rainbows" ou le retour des Smashing Pumpkins avec "Zeitgeist" avec des albums ininspirés.

samedi 13 octobre 2007

Paris Plage 2006 (suite et fin)

(réédition d'un article paru ailleurs)

Pas d'eau et non, quelle météo capricieuse ce vendredi soir, sur les quais de seine.
Température douce, un léger vent à peine visible et quelques nuages ne font que passer et n'effrayent pas les spectateurs présents.

Alors avant de venir, je m'etais un peu rencardé sur les horaires, histoire de ne rien rater d'importants.
J'étais tombé sur 3 sites web et 3 débuts de spectacle différents:
18h30, 18h50 et 19h00.
Le dernier était donné par le site officiel.

Et mauvaise pioche, car tout avait été avancé à 18h20.
Et c'est Daddy Long Legs qui en fit les frais.

Juste le temps de voir l'avant-dernière et la chanson qui suit.
Suffisamment pour me rendre compte d'un son approximatif, malgré une présence sur scène quasi nulle sur scène, les DLL assurent une pop mélodique bien charpentée.


40 minutes plus tard, les Hushpuppies prennent la suite.
A peine le temps de bouger pour trouver de quoi se restaurer, vu l'attente dans les stands de Paris Plage, un petit saut vers le chaleureux quartier Saint Paul est plutot de bon aloi.

Retour vers la scène et seine, plaçage à une 15 de mètres de la crash barrière.
Les Hushpuppies arrivent, bien halés, une mention pour le guitariste, bien sappé à la Kinks, on l'espère à la hauteur de ceux-ci.

Le son est moins moche que pour le premier concert mais cela reste médiocre.
On entend à peine le chanteur et le clavier, quant au guitariste c'est un son intermittent.

Pour le reste, les Hushpuppies distillent une musique au son carré mais dépourvue d'émotions et à la mélodie qui se cherche.

Ils chantent en anglais mais je pense qu'ils devraient s'orienter vers du français à la Ronnie Bird.
En tout cas, ils se donnent sur scène et on ne peut pas leur enlever ça et essaient assez vainement de faire participer un public venu pourtant pour ce groupe.

Les plus jeunes essayant de slamer mais de façon plutôt chaotique.

Les Hushpuppies s'essaient à la reprise avec I'm Not Like Everybody Else, bien dans l'esprit des Kinks et plutôt bien réalisée.



Ils finissent avec deux titres au niveau maximum de saturation et de larsen domestiqués.


Paris Plage 2006

(réédition d'un article paru ailleurs)

Pour les Infadels deja vus et remarqués (en bien) au Paléo, je décide de m'avancer à 5 m de la scéne pour bien profiter du bordel que cela doit créer.



En fait, ce groupe je le connais depuis 3-4 mois et vite écouté sur le lecteur Mp3, au niveau musique, cela lorgnerait plutôt vers Happy Mondays et/ou Kasabian, pas trop mal foutu mais pas transcendant non plus.

Ils étaient passés aux Solidays (2006) , mais je n'avais pas voulu me déplacer car le concert avait lieu tôt, par contre en arrivant sur le site, leur concert n'était pas terminé et ce qui m'était arrivé jusqu'aux oreilles me paraissait vraiment pas mal.

Du coup, j'avais coché le jour et l'heure de leur prestation au Paléo.
Une prestation réussie et déjantée, à une heure plutôt tardive et pour une poignée d'amateurs, environ 1500 personnes pour un chapiteau pouvant contenir 5 fois plus.

Un chanteur ne tenant pas en place, à la danse désarticulée, comme le faisait Bez , le pote des Happy Mondays, un batteur martelant ses tomes la bouche ouverte, un bassiste ressemblant à un révolutionnaire irlandais, un guitariste qui bondit dans tous les sens et un clavieriste qui tape comme un forcené sur son pauvre instrument.

Du rock, un peu d'électro, quelques morceaux bien enlevés et un rappel final dantesque, il manquait juste un peu plus de spectateurs voulant faire la fête.

Un vrai groupe de scène.

vendredi 12 octobre 2007

Neon Oven



Je vais vous conter une histoire très étrange qui ne déplairait pas à Mr Bellemare.
Oui une histoire extraordinaire.

Tout commença le jour où l'on me demanda de garder un trésor inestimable.
Un soir d'été, une mission d'envergure m'était enfin confiée:
Veiller pendant 15 jours sur une réserve de vinyls tous d'excellente qualité, pendant que leurs heureux propriétaires iraient se dorer la pilule dans une contrée nettement plus accueillante.

Leur confiance était telle que je pouvais même à loisir, en écouter quelques uns.
Et c'est ainsi que je tombais nez à nez avec un chef d'oeuvre d'orfévrerie.



Un Live, des Primevals, groupe écossais au riffs acérés et à la mélodie accrocheuse, enregistré au Grand Rex à Paris.

Groupe loin de m'être inconnu.
Grace au Label New Rose, qui me permis de découvrir une collection éclectique de groupes de l'époque, j'avais mis la main sur Live a little qui comme son nom l'indique, est un album studio.



Pour en revenir sur Neon Oven, le concert débutait par Crazy Little Thing, qui je ne le savais pas à l'époque, mes connaissances musicales étant seulement à leurs babutiments, était une reprise de Captain Beefheart.
Groupe américain légendaire qui n'aurait pu évoquer pour moi à l'époque qu'une musique étrange comme le dessinait si bien Gotlib dans Hamster Jovial.

Après ce démarrage de toute beauté, le groupe parcourut son répertoire avec les 4/5 de titres venant de Live A Little:

Spiritual, grosse intro à la basse, guitare slide, leur marque de fabrique, une voix grave légérement éraillée et surtout des cuivres, qui en studio avait été presque totalement gommés.

Etonnament, leur inspiration sur scéne était beaucoup plus funky/soul que celle qui transparaissait en studio.

Ensuite, My Dying embers, très mélancolique, qu'aurait pu écrire Chris Bailey ou Jeffrey Lee Pierce.

Elixir of Life et Early grave, avec un rock un plus agressif, une ambiance "Cramps" mais beaucoup plus lente.

Sister, au rythme nettement plus soutenu, mais très proche des 2 précédentes pour son ambiance très sombre.

Eternal Hotfire, morceaux très court et soutenu par une voix très Blues.

My Emancipation qui enchainait, parfait pour une fin de concert, au son beaucoup plus clair, quelque part entre Hoodoo Gurus et Fleshtones, qui surfait allegrement sur Rock n Roll Part II, de Gary Glitter.

Et enfin pour finir, Total destruction of your mind, reprise de Swamp Dogg, qui éclairait tout cet album de cet emprise rock/soul.

Bien sur, à l'époque, le seul moyen d'emporter sa galette vinyl partout, était d'effectuer une copie sur cassette support idéal pour la voiture ou pour les jeunes de l'époque, le walkman.
Chose que je m'empressa de faire.

Bien après leur retour de vacances, au hasard d'un discussion, je parla de ce disque fantastique.
Ce qui surpris mon interlocuteur qui m'affirma qu'en aucun cas, il n'avait possédé cet album.
Chose qui fut vérifiée bien plus tard.

Malgré tout j'ai toujours gardé l'enregistrement jusqu'à aujourd'hui puisqu'il m'est impossible de remettre la main dessus.









Vesser férmé de l'intérieur


Nouvelle série ce week end avec Journeyman.

Journaliste, marié, avec un fils, Dan Vesser, vivant à San Francisco, commençe à se plaindre de sérieux maux de tête, jusqu'à cela dégénére en un truc pas catholique mais franchement cathodique.

Alors qu'il dort tranquillement chez lui, il est emmené dans une sorte de vortex bleuté, il se retrouve 20 ans en arrière, toujours à San Francisco.
Voulant retourner chez lui alors qu'il croit avoir faire une crise de somnanbulisme, il ne trouve pas mieux de se faire remarquer en sauvant en type qui visiblement voulait mettre fin à ses jours en se faisant laminer par un tramway.

Le gars a le temps de raconter de son désespoir de ne pas pouvoir vivre avec son copine enceinte et il disparait sans crier gare.
Pas le temps de dire ouf, Dan se retrouve transbahuter dans le présent.
Pas de bol, le temps qui se déroule dans le passé, se déroule tout autant dans son présent, voire même beaucoup plus vite et du coup, il réapparait deux jours après avoir disparu.
Tout son entourage se posant des questions...il ne sait que dire de peur de passer pour un fou.

Point départ de ce premier épisode, inutile d'en dire plus quoique:
C'est une espèce de code quantum teinté de super héros, dans le sens ou Dan Vesser a un étrange pouvoir qu'il lui permet de rétablir certaines choses arrivées dans le passé, un pouvoir qui le déstabilise dans sa vie présente et qui lui impose d'avoir une vie secrête qui ne contrôle absolument pas puisque le phénomène peut arriver à n'importe quel moment dans n'importe quelle situation.

Pour l'instant, au vu des premiers deux épisodes, le principe et le concept sont bien établis, l'interprétation est solide, mais on a un peu de mal à savoir où les scénaristes veulent en venir.

A suivre donc

La main au Cult ?

Pas un seul soir de la semaine de libre.
C'est toujours comme ça.
Le vendredi 19h50 devant le Virgin de la Défense, le vigile en faction demande aux clients de ne plus rentrer.
Je profite de la diversion pour passer outre.
A peine arriver au rayon, "Varietés Internationales", la lumière s'éteint.
Un autre vigile arrive vers moi et il commence à faire décaniller les gars qui usaient leurs oreilles sur les disques en démo.
"Monsieur, il est l'heure de partir"
"Je viens d'arriver, j'ai juste un disque à acheter"
Haussement d'épaules, il n'insiste pas, il a vu dans mes yeux toute ma détermination et ma véhémence.

Le rayon variétoche où j'avais repéré la semaine d'avant que ce que je cherchais était niché à lettre C de la Pop.
Tout arrive quand même, à une époque, on les avait catalogué "Gothic", puis chemin faisant, ils avaient fini par échouer au rayon "Hard Rock".
Maintenant au 21e siècle, on parle de "Métal".
Certes, mais pour le responsable du rayon disque, c'était bien mieux ou bien pire, tout dépend de ce qu'on entend pas là.
Bombardé "Variétés Internationales", la gifle tout de même pour un groupe qui a fini par signer chez un gros indépendant (ou supposé l'être), "Roadrunner", quand même spécialisé dans le bruit de qualité.
J'imagine bien le gars qui cherche Sepultura et qu'on lui dise:
"Variétés internationales"

Bon, Roadrunner récemment est passé dans le giron d'une grosse boite américaine, mais quand même, il y a parfois des limites à ne pas dépasser.
En attendant, j'arrive au rayon et là que dalle, 3 pauvres disques qui se battent en duel, l'antépénultième avec sa tête de mouton au chant bellant, la compilation et Ceremony.
Je lève la tête et là ô surprise, 1m² de CD avec cette gueule là:




Ah bien joué !
En fait, il l'avait bien préparé son coup le gars responsable-du-rayon-disque-du-Virgin-de-la-Défense. (dont il faut pas dire le nom, enfin c'est surtout parce qu'on le connait pas)
Peut être le dernier fan de ce groupe culte (désolé il fallait que je la fasse), il avait placé ses jetons, commencé son bluff et finalement remporté le jackpot !

Sans réfléchir, je me saisis d'un des objets au moment, ou le vigile refit son apparition.
Triomphal et mot pour mot (ou presque) je lui sors:
"Alors ducon, je te l'avais bien dit que je cherchais CE disque"
Rehaussement d'épaule, il me prie poliment de me diriger vers la caisse centrale.

Bel objet quand même, noire, c'te classe, un loup gris qui saute par dessus un tas d'os roses sanguinolent.
Franchement, quelle pochette, rien que ça, ça annonce tout, c'est évident.
A la limite même, tu peux la ranger dans ta CDtheque sans rien écouter, voire même la laisser sous le blister.
Mais la curiosité est pire que tout, je le retourne pour voir les titres.
Et là encore, c'est beau.
Les titres écrits en noir sur fond noir, il faut regarder en oblique pour les distinguer.
Ca augure vraiment que du bon pour cette album.

Born into this, Citizens, Diamonds, Dirty Little Rockstar, Holy mountain, I assassin, Illuminated, Tiger in the Sun, Savages, Sounds of Destruction.
Titres très parlant, ça va défourrailler sévere, moi je vous le dit.

J'ouvre la boîte, version extended oblige, avec un cd bonus de 5 titres.
L'un est noir, l'autre est son négatif.

En écoute, un son proche de l'éponyme "The Cult" qui avait tenté l'ouverture sur un son plus rock et qui les avait poussé vers la sortie.

Dirty Little Rock Star, rythmé par une petite boucle électro rappelle au souvenir de The Witch.
Diamond, Citizens, Savages & Sounds of Destruction restent du meilleur calibre.
Astbury a retrouvé un peu sa voix et les guitares de Duffy flinguent agréablement l'oreille.

6 ans quand même à attendre après le magnifique "Beyond good and Evil", album qui leur avait permis de renouer avec leur son post "Love".
Une ou deux tournées plus tard, célebrées par la sortie d'un live en tout point remarquable,





Ils avaient de nouveau jeté l'éponge.
Cette rupture devait être la dernière, entre temps, Ian Astbury ayant trouvé un job à plein temps avec ses acolytes Robbie Krieger et Ray Manzarek, ils essayaient de faire revivre le fantôme des Doors.
Peine perdue bien que la tournée qui l'accompagnait, fut fort lucrative, enfin supposée, car les places les moins chères se monnayaient autour de 100 euros.
En tout cas, ils n'avaient pas eu la bénédiction de la famille de Morrison ni de John Densmore pour utiliser le nom du groupe.
Procès perdu, ils continuèrent sous le nom The Doors of the 21st Century, puis D21C et enfin celui de Riders of the Storm.
La voix de Ian, son look chevelu et son déhanchement collaient assez bien à Jim Morrison, mais en fait ceux qui paraissaient le plus aux abois, étaient les membres originaux.

Ce projet finit par décliner sérieusement de la tête et finalement Billy Duffy, l'autre membre à vie de The Cult et Ian re-partirent en tournée.
Ils sortèrent un an plus tard, comme l'avaient fait Pearl Jam, The Pixies et The Who, les live issus de cette tournée.
Et Ian prononça la fameuse phrase légendaire "on prépare un nouvel album".

Pour préparer le terrain et la sortie de celui-ci, "Born into this", ils conclurent avec les Who pour les dates européennes de leurs tournées.
Maintenant on attend, la tournée promotion de leur album qui débutent aux USA, ou le groupe conserve le plus de fans.

Bougon jaune, bougon vert, les deux font la paire

Quelle idée de créer un blog un vendredi.
Sans doute la perspective d'un long et bon week-end de détente.

Du bol, oui, le vendredi le seul jour ou l'humeur devrait être la plus déconnante.
Mais comme quasiment tous les jours de la semaine, je bougonne pour des détails sans doute.
Vers quoi ? et surtout un jaune sait quoi ?

Probablement, tout et n'importe quoi de l'album le plus dispensable au film le plus improbable en passant par les coups de gueule dont je suis coutumié sur les petits aléas de la joyeuse vie parisienne.