mercredi 20 juillet 2022

Les Scènes Principales dans les grands festivals.

 Aka les Main Stages 

Je ne suis vraiment pas un adepte des grandes salles, je me fais violence que quand c'est strictement nécessaire, comme Tool, Iron Maiden ou The Cure.

Sur les Mains, j'ai fini par renoncer à cause de la densité du public qui se concentre sur des anneaux situés extrêmement loin des scènes pourtant et qui fait absolument barrage.

Pour voir des Artistes sur les scènes principales, il faut se concentrer sur plusieurs à la suite ou être patient dans le magma des corps inertes debout, assis ou couché qui te font face.

Passé ses anneaux, il est facile de retrouver de la place, mais pour repartir c'est une grosse perte de temps difficilement conciliables avec nos agendas chargés.

Au Hellfest, Scorpions ont été les derniers pour les quels j'ai vu le concert en entier.

J'ai fait ainsi des passages de 3 à 5 chansons et au loin pour les Deftones, Dropkick Murphys, Guns n' Roses ou Offspring.

Mais ce qu'il faut se dire, c'est que ces scènes sont les lieux de vie du plus grand nombre, ce qui attire le chaland et qui fait vivre les grands festivals.

Cette organisation permet justement aux petites scènes d'exister. Tant mieux mais sans moi le plus possible.

PS:

Anecdote à Rock lors du dernier passage des Black Keys, densité énorme, pour reculer de quelques mètres, un parcours du combattant entre festivaliers avinés, sourds ou/et qui en ont rien à foutre de laisser un passage et qui semblent vite énervés, tellement qu'un m'a renversé sa bière intégralement m'obligeant à acheter un t shirt neuf pour finir la journée au sec.







lundi 18 juillet 2022

Unhappy Mondays

Moi j'attendais avec impatience de placer ma blague quand je serais vieux et qu'eux même le soient aussi.

Les "Papy" Mondays seraient là.

Mais à ce rythme, avec la mort à 58 balais de leur bassiste, il restera plus grand monde dans 10 ans, avec toutes les substances qu'ils ont ingérés.

Le mec a été retrouvé mort quelques heures avant un concert, ça me rappelle la fin de John Entwistle des Who après une OD de coke dans un motel.

La première fois que j'ai entendu les Happy Mondays, c'était sur une compil des inrocks que j'avais achetée 5 balles dans un bac à solde, un printemps 91, que j'avais trouvé dés l'été 91.

Tout ça parce que le rayon disque du supermarché ou j'allais faire mes courses pliaient bagage, j'avais fait de belles affaires la-bas avec des K7 à 5 balles et des CD à 10.


Y avait dessus "Bob's Uncle" et j'avais été charmé par la basse de Paul Ryder, inratable.

Après ça, j'étais parti en quête des albums des HM.

Au lieu de Papy, Unhappy Mondays, donc et à jamais...